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carVertical : sécuriser l’achat des véhicules de seconde main

Selon une étude OpinionWay de 2023, l’achat de produits d’occasion est entré dans les mœurs des Français. Il est vrai que cette tendance est favorisée par l’inflation et la baisse du pouvoir d’achat. Cependant, la seconde main suscite encore une certaine méfiance, notamment concernant les voitures. En retraçant l’historique de chaque véhicule, carVertical permet de repérer les fraudes au compteur kilométrique et autres accidents dissimulés. Elle apporte ainsi la transparence dont le marché de l’occasion a si désespérément besoin !

Comme le rappelle l’institut de sondages OpinionWay*, les Français réalisent désormais un quart de leurs achats sur le marché de l’occasion. Inflation et baisse du pouvoir d’achat obligent, 86% d’entre nous cherchent à faire des économies. Sans que cela ne vienne nuire à notre niveau de confort matériel.

Une voiture d’occasion : pourquoi pas ?

Par ailleurs, cette vogue pour les produits d’occasion s’aligne avec notre souci de consommer de façon durable. Ainsi, 36% des Français éprouvent des remords à trop consommer. 83% souhaitent même réduire le nombre de leurs achats. Or, comment résoudre cette quadrature du cercle ? Comment pourrons-nous maintenir notre niveau de vie tout en consommant moins ? Peut-être en n’achetant plus autant de produits neufs qu’auparavant… Ainsi, la moitié des Français prend désormais en compte l’impact environnemental de sa consommation. Pour eux, il s’agit même d’un critère de choix essentiel.

Comme les autres produits de seconde main, la voiture d’occasion exerce une attraction vis-à-vis de la majorité des Français. Cet engouement est cependant contrebalancé par la peur de se faire arnaquer. Cette crainte pousse 30% de nos compatriotes à encore préférer acheter du neuf. Car il n’est pas possible de retourner une voiture d’occasion après avoir changé d’avis, comme on le ferait d’un véhicule neuf. Le processus d’achat est donc encore bien plus simple pour le neuf que pour l’occasion.

Finalement, l’auto cristallise l’ambivalence du sentiment de nos compatriotes vis-à-vis des produits d’occasion. D’un côté, nous sommes attirés par la perspective de faire des économies (‘ah ! la belle affaire !’). Mais, d’un autre côté, nous nous méfions de la moindre qualité de la seconde main.

Le risque des relations économiques entre particuliers

Sur le marché de l’auto particulièrement, 82% des sondés soulignent les risques liés aux transactions entre particuliers (paiement moins sécurisé). La peur de l’arnaque freine 88% des personnes interrogées. Elle représente une inquiétude profonde les empêchant même de passer à l’acte. D’autant que 78% n’ont pas accès à l’historique du véhicule de seconde main qu’ils convoitent. Ce frein est d’autant plus présent chez les personnes qui ‘n’y connaissent rien’.

Finalement, l’étude OpinionWay pointe cinq difficultés auxquelles les acheteurs potentiels de voitures d’occasion doivent faire face :

  • Comment identifier un vice caché ?
  • Comment retracer l’historique d’un véhicule ?
  • Quel recours en cas de litige ?
  • Comment déterminer la valeur réelle ?
  • Où trouver des petites annonces de qualité ?

Face à ces préoccupations, carVertical contribue à fiabiliser les transactions sur les véhicules d’occasion. Car elle instaure une plus grande transparence sur le marché de la seconde main.

carVertical, une startup innovante installée à Vilnius, Lituanie

Aujourd’hui forte de 140 collaborateurs, carVertical connaît une croissance fulgurante depuis son démarrage en 2018. Ce qui en fait un des exemples de success stories de la tech dont les pays baltes sont si fiers ! Matas Buzelis, expert automobile et responsable de la communication chez carVertical, rappelle ainsi que Skype, Bolt et Vinted sont toutes des startups baltes à l’origine. Vilnius, en particulier, connaît une forte expansion de son secteur IT. Cela s’explique en partie par l’afflux d’ingénieurs informatiques en provenance de Biélorussie.

Par ailleurs, les pays baltes misent à fond sur l’ouverture vers l’international, afin de compenser l’étroitesse de leur marché domestique. Une telle ouverture est à mettre en lien direct avec le succès remporté par une plateforme telle Vinted. Car les citoyens baltes sourcent leurs achats et vont chercher leurs clients au-delà de leurs frontières, depuis de nombreuses années déjà. Enfin, ils maîtrisent généralement plusieurs langues étrangères, ce qui facilite les échanges avec l’étranger.

carVertical, une entreprise transfrontalière, à l’image du marché de la voiture d’occasion

Moundyr Gainou, directeur France de carVertical, poursuit en rappelant que son entreprise est spécialisée dans la collecte de data sur l’historique des véhicules. Cette data provient de sources de données publiques aussi bien que privées. Le but de carVertical consiste à insuffler au marché de la seconde main la transparence qui lui manque. Vis-à-vis des acheteurs aussi bien que des vendeurs de véhicules. Vis-à-vis des particuliers aussi bien que des professionnels. De même, elle propose des vérifications pour les motos aussi bien que pour les automobiles.

Forte de son succès, la startup lituanienne est aujourd’hui présente sur 28 marchés dans l’UE, ainsi qu’aux États-Unis, Mexique, Australie et UK. Pour carVertical, le fait d’être présente sur plusieurs marchés se révèle absolument fondamental. Car cela lui permet d’accompagner l’itinéraire très souvent transfrontalier des véhicules d’occasion.

Depuis sa création, carVertical a généré 22,3 millions de rapports, soit 10.000 rapports par jour en moyenne. Le site internet de la société reçoit 1,5 million de visiteurs uniques par mois. Le succès du service qu’elle offre tient à son côté très innovant. carVertical propose ainsi des outils fonctionnels et intuitifs. Les particuliers ayant peu de connaissances en matière automobile apprécient donc particulièrement cette prestation en B2C. Les professionnels peuvent, quant à eux, évaluer plus facilement la valeur du véhicule qu’ils veulent proposer à la vente (B2B).

À lire également : carVertical : se protéger des arnaques quand on achète une voiture d’occasion.

carVertical : une entreprise de collecte, agrégation et restitution de données pas comme les autres

carVertical se définit comme une entreprise de collecte et de réorganisation de la data automobile. À partir du numéro d’identification propre à chaque véhicule (VIN), l’entreprise est capable de retracer l’historique de ce dernier. Notamment son kilométrage ainsi que les différentes réparations qu’il a subies. Cette prestation technologique explique le profil technico-commercial des quatre co-fondateurs. Rokas Medonis occupe le poste de PDG. Audrius Kučinskas se consacre aux questions liées à la tech. Arnas Vasiliauskas s’occupe des problématiques liées à la propriété intellectuelle. Enfin, Robertas Boravskis prend en main les aspects marketing.

Dans une étude qu’elle a menée sur 25 pays, carVertical a constaté que notre pays se classait à la cinquième place des marchés des véhicules d’occasion les plus transparents. En effet, 3,27% de tous les véhicules vérifiés sur carVertical présentaient un problème de compteur truqué. Celui-ci était ainsi réduit en moyenne de 60.483 km. Par ailleurs, 41,2% des VIN appelés sur carVertical appartenaient à une voiture ayant subi des réparations, même mineures.

carVertical restaure la sérénité sur le marché de la voiture d’occasion

Ces chiffres sont significativement moins bons que ceux du Royaume-Uni. Là, le pourcentage des compteurs kilométriques falsifiés descend à 2,72%, tandis que celui des voitures endommagées n’est que de 18,36% seulement. Cependant, les chiffres français sont bien meilleurs que ceux enregistrés par certains pays d’Europe orientale. Parmi eux, la Lituanie (8,3% / 57,58%) ou encore la Lettonie (12,92% / 58,42%). Le marché français de la voiture d’occasion est donc très actif. 6 millions de véhicules de seconde mains se sont échangés en France en 2021, soit trois fois plus que de véhicules neufs. Dans le même temps, il demeure relativement transparent selon carVertical.

Cependant, il convient de se montrer discriminant à l’égard des véhicules d’occasion importés de l’étranger (45,41%) pour se protéger contre toute arnaque. Ce que carVertical permet de réaliser, en retraçant les pays d’immatriculation et donc l’origine de la voiture d’occasion vous ayant fait craquer.

Plus d’informations en cliquant ici.

* Restitution des études réalisées par OpinionWay et carVertical le 30 janvier dernier à l’Hôtel Napoléon, Paris 8.

L’histoire cachée de tous les véhicules d’occasion proposés à la vente. (c) carVertical.

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